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Dando vuelta en el Cuyo - Un petit tour dans le Cuyo
Cerro Aconcagua
Après la Province de San Juan, je suis arrivé en stop lundi 9 à Mendoza où j'ai croisé, sur la Plaza Independenzia, quelle ne fût pas ma surprise, Marine et Margot, fraichement débarquées respectivement de leur stage au Canada et en Suède pour venir en faire respectivement au Pérou et au Chili, mais avant cela, pour voyager un bout en Argentine et en Bolivie. Ça tombe bien, c'est aussi mon programme... Quelle coincidence ! Après les retrouvailles avec mes sciencepotesses et avec Félix qui les accueillait et que je salue ici au passage, j'en ai fait d'autres avec Magalie, que je salue également bien haut ici bas. C'est elle (je dénonce) qui m'a hébergé toute la semaine, m'a donné les plans de ce qu'il y avait à faire dans le coin, m'a fait rencontrer ses potes-ses, m'a fait visiter sa fac, sa ville, etc, malgré son programme chargé du fait de la proximité des dates limite de dépôt des dossiers d'inscription dans les masters qu'elle veut pour l'année prochaine... Au final je me suis fait un petit treck au pied de l'Aconcagua, le sommet le plus haut d'Amérique (6952 mètres) et une tournée dans les bodegas avec Marine, Margot et Félix, entre des journées de glande et de repos, et des soirées mendocines fernetisées... Samedi, j'ai mis le cap sur San Luis où j'ai fait une première étape sur la route de la Bolivie (je vais tenter de rejoindre les filles à Salta, elles sont parties avant moi de Mendo) après avoir bien galérer en stop et attendu la voiture salvatrice qui fut le camion de mon ami Cristian Raffo. Comme les bonnes choses n'arrivent jamais seules, j'au aussi galéré dimanche en voulant aller au Parc National de Las Quijadas et ai changé mes plans pour poursuivre ma route vers Mercedes où j'ai de nouveau galérer 2h jusqu'à la tombée de la nuit. Dans mon malheur j'ai eu de la chance puisque j'ai rencontré les membres de l'aéroclub en face duquel je faisais du stop qui m'ont gentiment offert pizza, coca et téléphone pour joindre mon ange gardien du jour : j'ai nommé Eduardo ! Eduardo, a qui je dédie ces lignes, m'a non seulement pris en stop de San Luis a Mercedes, mais m'a aussi hébergé, invité au resto, enseigné l'histoire de la province de San Luis ainsi que le spectre politique argentin et l'histoire du péronisme et du radicalisme en Argentine... Eduardo quand tu viens en Bretagne tu es le bienvenu !
Después de la Provincia de San Juan, llegué a dedo a Mendoza el lunes 9 donde me encontré, sobre la Plaza Independencia, con la Marine y la Margot... ¡ Que sorpresa ! Ellas justo terminaron sus practicas largas en Canada y Suecia y se vinieron en America latina para hacer respectivamente una práctica corta en Perú y Chile. Pero antes de eso, quieren viajar en Argentina y en Bolivia... ¡ Que casualidad, es justamente lo que quería hacer ! Después del bueno momento pasado con las chicas y con el Félix que les acogaba, saludos a vos Féfé, me fui a la casa de la Magalie que me esperaba, saludos a vos igual Maga. Fue ella (eso es una denunciación) quien me acogió toda la semana en su depto, quien me hizo visitar su ciudad, sus bares, encontrar sus amig@s, dió los planes de lo que tenía que visitar en los alrededores, etc... Y eso en un contexto complicado por el hecho de que ella tenía que hacer muchos tramites relacionados con la universidad en Francia para su año universitario próximo. Al final hice una caminata al pie del Aconcagua, el cerro más alto de America (6952 metros) y una vuelta de las bodegas mendocinas con Marine, Margot y Félix, entre otros días más tranquilos, y otras noches más fernetisada... Sabado me fui a dedo a San Luis donde hice una primera etapa de mi viaje hacia Bolivia (voy a intentar de juntar las chicas en Salta, ellas se fueron de Mendoza antes de yo) después de una tarde durante la cual espere mucho el auto salvador... que fue el camión de mi amigo Cristian Raffo. Y como no hay una sin segunda (Cueca Pochi !), espere 3 horas domingo para ir al Parque Nacional de las Quijadas donde al final nunca fui porque cambié mi plan frente a este fracaso... Me fui a dedo hacia Mercedes donde terminé el dìa esperando hasta la noche que alguien me lleva. Nadie me llevó. En mi malasuerte tuvé suerte porqué encontré los socios del aeroclub de Mercedes frente al cual intentaba hacer dedo. Ellos me daron pizza, coca y celular para llamar a mi protector del día : Eduardo ! Eduardo, a quien dedico estas lineas, no solamente me llevó a dedo sino también me acogió en su casa, me invitó al restaurante, me explicó el paisaje político argentino, me enseño la historia de la Provincia de San Luis y del peronismo y del radicalismo en Argentina... Eduardo, cuando quieres, estás el bienvenido en Bretaña !
El Puente del Inca
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